LE TRAVAIL : la philosopohie de MARX

Publié le par Prof

MARX  et le MARXISME le matérialisme historique, la division du travail  et la conscience

ESPRIT DU MARXISME

Intention : une science de la société et de l’historie . Sociologie aux prétentions scientifiques et objectives ( amsi vraimetn désintéresséee ?) Doctrine de classe, eprspective de création d’une socitéé nouvelle ( communisme). Liberer l’homme, réalsier son essence, viser el bonheur colelctif. « Dans la société bourgeoise, le capital est indépendant et personnel, tandis qeu l’individu  qui travaille est dépendant et privé de personnalité » manifeste

Ce que l’on appelle MATERIALISME :

-          Ce n’est pas un matérialisme moral ( Bentham, la Rochefoucauld, un calcul d’intérêts)

Matérialisme  historique : renversement de l’idéalisme de Hegel , analyse du processus historique et du rôle joué par les groupes sociaux . Chaque groupe cherche à défendre ses intérêts , c’est parfois une question de vie ou de mort..( certes, il y a quelsu idéalistes, mais les groupes eux n’ont pas le temps de rêver) Sur le plan politique, el désintéressement es tune faute, la morale individuelle ne saurait être étendue sans réflexion au champ politique.

-          C’est le dépassement de l’individualisme , même Robinson continue d’appartenir à un tout. La classe est un fait social qui n’est pas assez reconnu : les individus qui se trouvent dans les mêmes  conditions d’existence, dans la division du travail. « les individus en cosntituent une classe que dans leur lute commune contre une autre classe ». Relation de dépendance et de concurrence à l’intérieur. Les classes ne sont aps immuables ( cf a^ge d’or, communautés naturelles).Parfois égoïste, aprfois se sacrifie pour sa classe ( attention à la duprie, ne pas se sacrifier pour uen classe qui n’ a pas d’avenir). Prise de conscicen lente,  en ayant connaissance en économie ou après une lutte, expérience : conscience collective. Idéal communsite sera très exigeant, sacrifices

-          Une conception de la nature humaine : l’homem n’est ni mauvais (christ) ni bon ( rouss) mais les deux à al fois, c’est al vei sociale qui façonne , aprfis égoïstes, aprfois dévoués.Mais al classe ouvrière a plutôt un idéal sociale et humain,  d’abord pour comprendre leur situation puis pour s’en libérer de réalisation de soialors qeu al classe décadente est bassement « matérialsite », intérêts du capital. Le amtérialsime des ouvriers est honnête , transparent, en luttant pour des conditions de vie meilleures, ils luttent pour tous. Pas

-          TRAME DE L HISTOIRE : de l’animalité à lère de l’abondance, conscicen et de la liberté de l’homem en apssant apr l’aliénation. Le conflit est moteur de cette trame.

Etapes : de la socité fondée sur l’esclavage ( antiquité) à la socité féodale, dépassée apr la bourgoisie capitaliste qui a permi la liberté du commerce, a bele te bien eu un rôel hsitorique, ; masi elle  a produit de fâcheuses conséquences ( impitoyable liberté comemrce) désormasi al bourgeoisie apparâit comme al classe descendante, vouée à disparaître. Il faudrait passer de la démocratie au socialsime et du socialsime au communisme de façon à libérer progressivement la classe opprimée

 

Diagnostic : les pouvoirs établis  ( bourgeoisie et capitalisme)sont dangereux ; donc il faut accéder à une organisation sociale plus rationnelle, à un nouvel âge de l’historie. Marx se veutr solidaire de l’humain,d elavenir.

Se méfier de ses propres préjugés

Le mal :

-          « Les prolétaires n’ont aps de aptrie » : la propriété privée crée des inégalités des cahnces, celui qui est restrient à vendre sa force de travail, n’aura aps la même palce dans la socité, la même reconnaissance   ..Il faudrait que les prolétaires se scosntituent en nation.

-          Le nationalisem bourgoies conduit à l’exploitation de l’homme, et à la guerre… ; chacun cherchant à défendre ses intérêts, sa propriété.De vrais démocrates  refusent d’exploiter  d’autres nations car ilss refusent déjà d’exploiter l’homme, et du coup , ils développeraient els échanges matériesl et spirituels entre les peuples, sans chercher à dominer. Le progressisme est préférable au cosnervatisme.

-          La religion, opium du peuple ; comme l’alcool, l’homem croti pour oublier son exploitation et renonce à réforme politique ; Complice du pouvoir. La religion peut être belle mais elel n’invite aps à al révolution à cahnger le monde ; ( non anticléricalisme)

-          La culture sous al bourgeoisei :  scicen sans conscience. superbe pour la physiqeu, connaissance de la nature, masi insuffisante pour l’homme, ne aprvietn aps à fonder l’hsitoire, médecine, psychologie, pédagogie,) parce qu’elle cherche avant tout le profit,  or, les scicens humaiens ne sotn aps rentables. et elle manque de sagesse dans l’utilisation de ses découvertes ( ex nucléaire). Pourtant la sociologie est nécessaire pour préparer l’avenri des socités.

Le mal dans l’histoire la Division (involontaire) du travail

 

Le travail est par essence épanouissant

  . 1  Marx Le capital

         Le travail est de prime abord un acte qui se passe entre l’homme et la nature. L’homme y joue le rôle d’une puissance naturelle. Les forces dont son corps est doué, bras et jambes, tête et mains, il les met en mouvements afin de s’assimiler des matières en leur donnant  une forme utile à sa vie. En même temps qu’il agit par ce mouvement sur la nature extérieure et la modifie, il modifie sa propre nature et développe les facultés qui y sommeillent. Nous ne  nous  arrêterons pas à cet aspect primordial où il n’ a pas encore dépouillé son mode purement instinctif. Notre point de départ c’est le travail sous une forme qui appartient exclusivement à l’homme. Une araignée fait des opérations qui ressemblent à celles du tisserand , et l’abeille confond par ses cellules de cire l’habileté de plus d’un architecte. Mais ce qui distingue dès l’abord le plus mauvais architecte de l’abeille la plus experte, c’est qu’il a construit la cellule dans sa tête avant de la construire dans la ruche. Le résultat auquel le travail aboutit préexiste idéalement dans l’imagination du travailleur. Ce n’est pas qu’il opère seulement un changement de formes dans les matières naturelles :il y réalise du même coup son propre but dont il a  conscience, qui détermine comme loi son mode d’action, et auquel il doit subordonner sa volonté. Et cette subordination n’est pas momentanée. L’œuvre exige pendant toute sa durée, outre l’effort des organes qui agissent une attention soutenue, laquelle ne peut elle même résulter que d’une tension constante de la volonté. Elle l’exige d’autant plus que , par son objet et son mode d’exécution, le travail entraîne moins le travailleur, qu’il se fait moins sentir à lui comme le libre jeu de ses forces corporelles et intellectuelles : en un mot , qu’il est moins attrayant.

 

Aliénation du travailleur : moment inévitable du processu historique, mais qui doit e^tre dépassé ;Le temps de la révolution semble venu pour marx.

Les conditions de travail, tout simplement se détériorent.et le prolétaire devient une amchien ( huile c’est le salaire) un rouage sans cosncience

Le problème du travail des enfants pb des conditions intelelctuelles

La communauté se fractionne, entre en conflit avec l’individu. Le morcellement du travail fait perdre de vue la perspective d’ensemble, l’individu eprd en sesn, il vit de faço plus étroites dans les ornières de ses conditions de vie, il deveitn comme étranger dans sa propre socitét, c’es tuen forme d’alienation. Réification de la société

Par exemple, l’artisan était reconnu pour son travail, car il était responsable de l’ensemble de son œuvre, l’ouvrirer n’st plsu qu’n maillon d’uen chaîne, comment être reconnaissant pour une tâche miniature ? 

L’apparition des machiens crée de l’inégalité dans les formes de porductions : le travailleur qui n’a aps de propriété, est réduit à vendre sa force de travail ; seul celui qui détient du capital pourra prétender à al reconnaissance.

Ex : le prix de vente, efface complètement des conscicences la sueurs de l’équipe des ouvriers, seule la amrque es tmise en avant. Aujourd’hui, pb de redistribution des richesses, de la plsu value. La notion de masse salariale dit bien le mépris pour l’homme devenu machien.

la totalité de la socité  est perdue de vue.

Travail intelelctuel, les idées sotn celels de la classe domiannte, et les travailleurs physiques eux n’ont que peu de temps pour penser et se fabrqiuer es illusiosn sur leur classe, l’idéologie a tendance à présenter les itnérêts de sa classe comem étant ceux de la socité toute entière.

Lutte entre les forces productives et bourgeoisie, s’est accentuée

Au nom de quoi peut-on sacrifire l’individu ? l’intérêt  général ? Marx critique Stirner

 

La conscience

Généalogie chez Nietzsche, archéologie chez Foucault, métapsychologie chez freud, Phénoménologie chez Husserl et Marx propose une vision matérialiste de l’esprit. Aliénation est possible cf réflexions sur le travail.

·         «  Ce n’est pas la conscience qui détermine la vie, c’est la vie qui détermine al conscience » Marx

-          La cosncicen est destituée, elle n’est plus la réalité première à aprtir de laquelle le modne s’organise, elle est aucontraire le reflet de la  famille, de la société, des forces de productions, de l’hsitoire.Chaque génération pèse sur al génération suivante, l’humantié est cosntituée d’autant de mots que de vivants, l’individu n’est pas premier, il n’est que le porduit de l’actiond es hommes, le résidu du processu matériel.

Certes , elel s’iamgien être autre chose, mais il n’ ya rien end ehors de la vei amtérielle réelle , l’esprit est une abstraction, le sujet n’est rien de réel. La conscience est donc ausis source d’illusions.

 

L HISTOIRE

Penser l’hsitoire en terme de conflit,d e contradiction permet de remmettre en question la thèse métaphysiqeu d’une identité a priorid e l’espèce humaiNe. L’homme devietn ce qu’elle fait. PRAXIS = transformation effective , il faut analsyer ce qui est concret ;

Toutefois, espoir possible d’épanouissement ( cf sa philosophie de l’hsitoire, al révolution du prolétariat la suppresisond e la propriété et de la division du travail devrait permmettre à l’homem de jouir normalement de ses biens )

 

·         L’historie est-elle une science ?

-          L’histoire traditionnelle  néglige lles visiosnd ‘ensemble.

S’intéresse aux motifs subjectifs, idéologiques

Néglige  la genèse des mobiles, et les lois de dévelopement des socités, et darticulation des faits hsitoriques..

Il faut docn avoir uen vision d’ensemble, , comme el faisait Hegel, mais

 

-          Les individualistes ont tort de  croire que l’individu peut faire l’historie

Il  négliger les masses. Chaque individu n’est que le représentant d’une classe sociael, quand il n’es tpas directement le pote parole d’un groupe.. On ne se construit pas seul.

 

-          Hegel a tort de aprtir de l’Idée, il devrait aprtir de la réalité matérielle

hegel voyait dans l’ Etat la réalisation de l’ esprit, al preuve que la nature se spiritualisait.  Mais le poitn de déaprt est mauvais, il aprt de la cosncience au lieu de partir de l’homem vivant dans son entier Ce qui est contestable :  sauf qu’ill a été trop abstrait, et qu’il a oublié son fodnemetn réel, il part de l’idée au lei de aprtir de al réalité première : al pratiqeu, le travail, la dimenssions ensible. La réalité première c’est la matière et al socité, le tout précède la aprtie, la socité précède l’individu. La cosncience est donc le fruit des relations sociales ( cf déterminsoiem social) L’être humainréel es tle fruit de ses rapports sociaux.

 

Condition de l’hsitoire : satisifaire les besoins élémentaires :

«  le premier fait hsitoriqeu est donc la production de smoyens permettant de satisfaire ces besoins, la produciton de la vie matérielle ; et c’est làvéritablement et un fait hsitorique et une condition fondamentale de toute hsitoire, qui doti s’accompagner aujourd’hui comme il y a des milleirs d’années,et à toute heure du jour, simplemetn pour que els homems puissent contineur à vivre »

La satisfaction des besoins sucite de nouveaux besoins , et ainsi l’humantié se sépare de l’anaimailité.  C’est concrètement qu’on entre dans l’hsitorie.

 

-          L’histoire ne veut rien,  il ya jsute des conflits

il n’ y a pas de ruse de quoi que ce soit ? HEGEL A MYSTIFI2 L4HSITOIRE ? CANONIS2 LES Id2es,

CE SONT ELS HOMEMS QUI FOTN L4HSITRIE QUI SE FICXENT DES BUTS ;

 

-          Les rapprots historiques sotn d’abord des rapprots sociaux, la dialectiqeu, c’est d’abord la lutte des classes, chacun prenantr cosncicen de son appartenance à uen classe, se reconnaît, s’identifie par son opposition aux autres classes ( je en suis aps ceux-là peuple / aristo et inversement).. penser l’hsitoire en terme de conflit,d e contradiction permet de remmettre en question la thèse métaphysiqeu d’une identité a priorid e l’espèce humaiNe.

-           

-          Le conflti es tmoteur de l’hsitorie

 

 

Insuffisance des théoriciens : « Les philosopjes n’ont fait qu’onterpréter  diversement le monde, il faut amintenant le transformer » Marx

Si l’hsitorie ne veut rien, on peut donenr un sens à l’historie en réalisant l’essence de l’humanité par le communisme, en restaurant la liberté de l’homme

 

-          Marx prétende faire de l’hisitoire comme on fait une science.

 

Pas de négation de l’esprit, mais simplement description de la génèse dans le processu hsitorique .  Analyse scientifique possible, objective, sans faire abstracation du sujet, mais en lui donnant la palce qui lui correspond. (Elle est d’abord isntinct, animal, elle se développe par la praxis ; on aprt du corps pour arriver à l’enfant ;          alors qu’Hegel part de l’âme, cet idéalsiem ne correspond à rien de réel.) l’existence métérielle précède et confitionne l’existence subjective.

Les faits sociaux peuvent donc être étudiés comme des chose, comme des phénomènes naturels, mais simplement le processu au déaprt anturel devietn rationnel dans la société .

Il y a plussieurs âges dans l’humanité, l’âge de raison est en traind e commencer  avec l’histoire conscicente, organisée , planifiée. Ce saut qualitatif est une révolution, uen transformation profonde . La conscicen cesse d’être simpel isnticnt pour devenir connaissance et raison.

 

 

·         Ce qui es tjsute chez hegel :  l’activité hsitoriqeu de l’homem, le processus dialectiqeu à l’œuvre dans l’histoire,

 Il faut renverser l’idéalisme, pas si faux, mais procède à l’envers.

Condition de l’hsitoire : satisifaire les besoins élémentaires :

«  le premier fait hsitoriqeu est donc la production de smoyens permettant de satisfaire ces besoins, la produciton de la vie matérielle ; et c’est làvéritablement et un fait hsitorique et une condition fondamentale de toute hsitoire, qui doti s’accompagner aujourd’hui comme il y a des milleirs d’années,et à toute heure du jour, simplemetn pour que els homems puissent contineur à vivre »

La satisfaction des besoins sucite de nouveaux besoins , et ainsi l’humantié se sépare de l’anaimailité.  C’est concrètement qu’on entre dans l’hsitorie.

 

TRAME DE L HISTOIRE : de l’animalité à lère de l’abondance, conscicen et de la liberté de l’homem en apssant apr l’aliénation

NB : la pensée de Marx S4EST 2LABOR2E DANS EL TEMPS, sens différent en fonction des textes, donc grande vigilance !

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